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Les voyages d'Angéline

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Les voyages d'Angéline
21 février 2013

DES BORDS DU GANGE AU PALACE DE MYSORE...

2 février 2013

Après un très log voyage en train où Noé et sa mamie commencèrent a se sentir moins bien, nous sommes arrivés à Nagpur, en plein milieu de l'Inde, aux portes du Sud de l'Inde, le 1er février.

Nous avons rencontré dans ce train 2 pesronnages fort sympathiques : un agriculteur très enthousiaste qui m'a fait découvrir une partie du panier repas que sa femme lui avit confectionné avec amour : des pickles absolument délicieux que, hélas, je n'ai jamais retrouvé ailleurs... Et nous avons fait la connaissance également d'un jeune homme, originaire de Varanasi, architecte brillant qui travaille dans une autre ville. Tous sont tombés sous le charme de notre famille si originale et de notre Noé qui n'a cessé de faire briller les yeux des indiens tout au lmond de ce voyage. Il a réussi à faire sourire les indiens les plus inexpressifs et avons, à plusieurs reprises, suavé lestomac devenu fragile de notre petit à qui l'on glisait divers nourriture deans le smains à notre insu... Noé se trouyvant la plupart du temps dans notre dos, haut perché sur son porteur Chicco prêté par le cousin Aurélieu et qui a fait l'admiration de tous les indiens.

Bref, Noé s'est fait touché, bénir, embrassé, tripoté et donner de la nourriture à tous les oins de rues, de ruelles, de restaurant, de magasins...

Je me suis demandé si les indiens ne le considéraient pas comme un "Demi-Dieu" à l"image de bébé Krishna, tout bleu, avec lequel je trouve une ressemblance étaonnante maintenant que j'y repense. Lors de mon tout premier voyage, je fus la star, lors de notre 2èùe voyage, Yoann fut considéré comme une figure de la beauté occidentale (c'est vrai qu'il est divin!) et lors de ce 3ème voyage c'est notre fils qui fut chéri, béni et touché par tous, comme pour porter chance... Mais pourquoi? Les enfants indiens sont très beaux, les enfants européens sont magnifiques mais notre Noé semble procurer aux indiens une sensation particulière, une émotion au-delà de la sympathie que peut nous provoquer un enfant. Je m'interroge encore mais l'hypothèse d'un "enfant béni des Dieux" est celle que je retiens. Noé-Sunil une figure vivante de bébé Krishna?

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Sans le savoir auparavant, j'avais bien vu une ressemblance étonnante de mon fils avec cette divinité et j'avais, au détour d'une boutique, acheté un costume complet à Noé à l'effigie de cet avatar de Krishna... Hasard ou coïncidence?

C'est donc dans ce train de Varanasi à Nagpur qu'une réponse à l'une des questions existentielles que je posais alors concernant mon fils et sa place m'est arrivée en pleine figure. Ce jeune et beau génie en architecture m'a demandé expressément d'inculquer à mon fils la culture indienne car, me dit il, ce bébé est le symbole de la réussite de demain. Baskhar m'a gentiement indiqué qu'il se portait volontaire pour enseigner à Noé la culture indienne si il le gardait chez lui pendant 2 années, voire une seule. Tous 2 nous disent qu'il faut absolument réveiller l'Inde et l'Europe qui sommeillent en Noé et Baskhar me commande de commencer à apprendre à Noé l'anglais pour que, à l'image de tous les enfants indiens de son âge, il maîtrise au moins 2 langues.

C'est donc au beau milieu d'un train, au beau milieu de cette nuit du 1er au 2 février 2013, surveillant les nausées de plus en plus pressantes de Noé, que je me suis décidée à lui parler en 2 langues, mettant ainsi toutes les chances de son côté pour réveiller en lui ses 2 Cultures. Peut être qu'il me balancera un dictionnaire à la figure un jour, peut être qu'il refusera de voyager, de voire le reste du monde, de se confronter à une autre langue mais, c'est mon devoir de maman que de lui enseigner, au mieux de ce que je puisse faire, l'âme et l'Essence de ses origines au complet. Il ira faire une tour chez Papi Baskhar quand il sera grand et si il en a envie !

Nous voici arrivés à Nagpur, Mamie est allée aux toilettes immondes du train toute la nuit. Quand le soleil se lève dans le train, elle est pâle, fragile et son petit frère est mort. Il fallait que ça sorte.

Nous somems en transit à Nagpur, ville inconnue de tous, en attente de notre avion pour Bangalore qui décollera en fin de journée. Avons quelques heures pour profiter du soleil de cette entrée dans le Sud de l'Inde. Nous passerons ce temps dans un parc familial, un zoo buccolique qui abrite les déboire sd'un magicien de rue qui tente un petit spectacle payé au "chapeau" dans l'après midi. Repos, soleil et Mamie ets encore bien pâle. Il est temps qu'on se poset qu'on se repose enfin quelquepart, valises ouvertes...

Grâce à des porteurs de bagages que Baskhar engage pour une poignée de roupies, nous n'avons pas à trainer nos montagnes de bagages. De plus, ils resteront sous haute protection danbs la gare de Nagpuir le temps de notre escapade en famille, Baskhar préférant visiter à sa manière cette ville qu'il ne connait pas non plus. C'est d'ailleurs une belle idée de pouvoir nous munir de ce Baskhar lors de ce voyage car il découvre Varanasi et Nagpur pour la première fois... Avec nous !

Nous atteindrons l'aéroport de Nagpur avec nos bagages en même temps qu'une star du cinéma de Bollyhood qu enous ne reconnaitrons pas mais qu'une horde de fans attendra en même temps qu enous à l'aéroport. Après encore de longue stergiversations et négoiations, chiffres inscrits sur un carnet à l'appui, nous nous ferons escorter de l'aéroport de Bangalore jusqu'à Mysore par une voiture avec chauffeur commandée par Baskhar afin de nous faire économiser une nuit d'hôtel à Bangaloore ainsi qu'un transfert aéroport-centre ville, très cher en taxi.

C'est à 3h du matin qu enous arriverons à Mysore, dans un hôtel charmant situé à 2 pas du Palace... Nous sommes le 3 février 2013. Passer du Nord au Sud ne s'est pas fait sans peine ni sans heures interminables de trajets divers et myens de transport en tous genres. Enfin, nous posons nos valises et pouvons étaler notre bazar sur notre lit. L'aventure du Sud semble plus sereine.

 

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21 février 2013

ALLER EN TRAIN A VARANASI ET...

le 30 janvier 2013

Après une journée de repos bien méritée et négociée ardamment auprès de Baskhar qui nous a réservé un parcours de découvertes digne d'un ministre en voyage officiel, nous attrapons le train de 19h pour nous rendre à Varanasi (Bénarès).

Effectivement, le quartier Pahar Ganj( quartier populaire a traduire littéralement par le quartier eds malades) de Delhi que j'affectionne tout particulièrement pour une immersion en douceur et proximité populaire avce l'Inde, l avraie, est située a 2 pas de la gare de Delhi. Nous y sommes donc en un clin d'oeil. Et coachés par un Baskhar qui arrive en retard à l'hotel mais ayant une bonne excuse : hébergée chez sa fille, il a pris le temps de lui dire au-revoir et passer du temps avec Jayan, son petit fils, qu'il ne reverra pas de si tôt puisque nous retrournons chez lui dans le Sud, à plus de 2000km de chez sa fille.

En passant, lors de notre premiere journée en Inde, rapport à notre agenda sur-chargé concocté par Baskhar, nous avons fait une visite charmante chez sa fille, l'occasion pour Noé de jouer un peu avec Jayan, 4ans, surpris au réveil par notre présence et qui s'est montré aussi protecteur avec ses jouets que n'importe lequel de nos petits monstres bien de chez nous!!! Petit rappel du rythme de vie d'un enfant indien de classe supérieur : école de 8h à 12h puis déjeuner et jeux  puis repos de 16h à 18h, puis coucher vers 22h. La fille de Baskhar étant institutrice, elle a pû donc être tout à fait disponible pour nous recevoir dans son coquet appartement dont elle est propriétaire avec son mari, rencontré sur internet mais ayant reçu la bénédiction de Baskhar et de sa femme pour épouser leur fille, directeur des Ressources Humaines dans un grande entreprise de Delhi. Cette jeune femme d'environ 25 ou 27 ans, possède 200 saris et a eu l'extrême délicatesse de m'en offrir un, un magnifique sari bleu scintillant avce fleurs multicolores. Elle nous a offert de la papaye (fruit national poussant toute l'année) et du café (Keff), pas noir, au grand drame des 3 personnalités de la famille qui ont besoin de café noir chaque jour, ça commence très très fort...

Bref, ça c'était le 28 janvier, retrour au 30 janvier, quelque part dans un train...

C'est dans le train qu enou sprenons le plus de temps pour nous reposer, nous retrouver, bavarder et rencontrer des personnes adorables.

Nous bénéficions d'une classe confortable avec Air Conditionné et des voyageurs aisés, des indiens assez gros pour résumer. Devons partager notre cabine avec un inconnu, un Monsieur très agréable qui bavardera une bonne partie de la soirée avec Baskhar sur notre sujet, Baskhar étant absolument fier de pouvoir nous accompagner et raconter notre Histoire de famille de Coeur.

Après une nuit , une de plus où je ne fermais pas l'oeil rapport à un Noé qui s'est endormi tard et eu besoin de ma couchette en entier pour trouver son aise, nous atteignons Varanasi à 11h, ayant, au préalable, fixé un rendez vous à notre Ramesh des bords du Gange que je me faisais une joie de retrouver. Ma famille allait donc être réunie pour la première fois, au complet et à mon image, Ramesh étant mon frère indien et Baskhar mon père indien à mes yeux.

Grand bonheur de retrouver Ramesh et de passer 1 journée et demi avec lui et ma famille réunie au bord du Gange : Mother Ganga avec le smiens, du pur bonheur!

Mais ça c'était avant! Comme dirait une publicité remettant en place les vus ou pas vus selon la vision qu el'on porte sur les choses. C'était bien avant la saleté, la misère, la poussière et la crasse présente à chaque millimètre de notre avancée vers l'hôtel et le quartier du Golden Temple que j'adore à Varanasi. En fait, je savais qu ec'était comme ça, je n'avais pas iméginé une seule seconde que ce que je décrivais à mes retrous de voyage avait été enbellei par mon bonheur d'être en Inde... Bref, mes parents et mon Noé n'étaient pas prêts. Nausées, écoeurements, troubles intestinaux, mesures d'hygiène drastiques... Tout a basculé au moment même où cette satanée "tétette" de Monsieur Noé s'est retrouvée tétine l apremière dans une bouse de vache...

De Varanasi, nous avons donc rapporté :

- bactéries

- souvenirs mitigés

- la maladie de Noé et de sa mamie

Sans sompter qu'ils sont insupportables avec leurs manigances, leurs profits, leurs commissions et leurs intérêts multiples... Moi, j'ai eu ma photo avec ma famille au grand complet au bord du Gange et un moment magique de l'autre côté du Gange, pour la première fois.

Par contre, lors de la "Puja" la cérémonie immuable qui a lieu tous les soirs de toute la vie tout au long du Gange à la tombée de la nuit fut tout simplement une merveille de beauté, d'émotion, de pureté et d'intensité. Le tout sur la toile tendue de nos pensées soutenues vers notre être cher qui était en train de partir, un peu plus loin vers l'Ouest. Nous avons prié, pleuré et beaucoup médité lors de cet intense moment de communion de notre coeur familial. Varanasi commençait donc ici et s'arrêtait là, aussi. Tout était dit.

Le lendemain, nous apprenions la mort de notre très cher... Nos voyages communs pouvaient commencer, ici et là. C'est donc à Varanasi, lieu de la vie et de la mort, lieu de communion des esprits et de l'Hindousime que nous avons commencé notre aventure familiale. Nous avons quitté Varnasi sans émotion pour Ramesh qui n'est même pas venu avec nous à la gare pour nous dire au-revoir, rapport  une sombre histoire de commission qu'il ne touchera pas du taxi qu'il nous a commandé  puique Baskhar a décidé qu'un autre moyen de transport plus simple, plus économique et aussi efficace dans cette partie de la vielle aux rues et ruelles plus que minuscules ferait bien mieux l'affaire...

Mon Ramesh n'est pas venu nous dire au-revoir et, pourtant, ce fut une joie de nous revoir... Ramesh a grossi, Ramesh s'est marié, Ramesh est papa. Il est papa d'une adorable princesse Loola, âgée de 2ans. Sa femme étant sur le point 'daccoucher lors de notre précédent voyage, je comprends à présent son comportement odieux et si "professionnel" qu"il avait eu avec nous. Madame est très jalouse me confie t il. Nous ne la rencontrerons pas. Ramesh a passé beaucoup de temps, en toute discrétion, avec Noé... Je l'ai vu faire et ai beaucoup aimé le retrouver. Mon ami Ramesh est mon ami, quoi qu'il fasse pour gagner sa vie... Il respecte mes choix, je respecte les siens et sa destinée, qui au final, n'est pas si mal. Il me confie aussi que son frère, disparu il y 3ans et demi, lui a confié ses 3 grands enfants et qu'il a dût se marier poiur subvenir aux besoin de sa grande famille imposée. Ramesh a grossi, il porte la moustache, a grossi et a une fille, je crois qu'il est heureux, en secret.

Je crois bien que nos 2 cultures qui s'entremêlent ici et qui sucitent l'indignation et l'incompréhension de l'une ou l'autre des 2 parties chacune à leur tour vont parfois se choquer mutuellement durant le voyage...

Au-revoir Varanasi...

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21 février 2013

AU COEUR DE LA FAMILLE

Et voilà!

Le retour en France est bel et bien consommé... De nombreux témoignages nous rappellent à l'ordre concernant la tenue de ce blogt de voyage qui, le temps de ce 3ème opus, n'a pas été correctement "tenu".

Avant de vous dévoiler jour après jour les étapes de notre périple indien, au coeur de notre famille, un petit "Mea Culpa" car entre la gastro carabinée de notre petit trésor, ses pertes de repères diverses et variées, la perte de notre être cher qui est survenue en plein coeur de notre périple familial, les bactéries en tous genres que chacun a pû adopter tout au lond du voyage, les besoins vitaux de nourriture particulière, la chaluer étouffante du Kerala avec ses 45degrés quasi permanents, les émotions des retrouvailles dans 2 orphelinats du Sud de l'Inde très chers à notre coeur familial et la fatigue accumulée... Un grand Mea Culpa mais je n'ai pas pû fournir aux fours et aux moulins, je fus E P U I S E E !

Mais, pour faire écho a ma chère Pauline qui un jour m'a confié un "L'art de la Patience", je certfie, ce jour, avoir fait un immense pas vers ma patience-sagesse. J'ai donc bel et bien avancé...

Cela fait désomais 5 jours pleins que nous avons atteris, ou presque et je profite de ce premier jour de retrouvailles de Noé et sa chère Nounou Bernadette pour mettre à plat, sur ce blog, ce voyage fait de multiples rebondissements du coeur dans nos poitrines, dans notre coeur familial.

 

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30 janvier 2013

TAJ MAHAL : LE PARADIS BLANC

Il est 6h ce mardi 29 janvier 2013, nous somems dans la voiture pour Agra. En passant, nous verrons plusieurs temples... Programme concocte par Bhaskar... Un peu charge a notre gout mais nous lui expliquerons tout ca et, finalememnt, la journee du lendemain, ce jour meme, donc, sera LIIIIIIIIIIIBRE.

Hier, nous avons rendu visite a la fille de Bhaskar qui vit a Delhi avec son mari et leur fils, Jayan. Ils sont proprietaires d un appartement confortable dans une residence pres de la caserne des pompiers de Delhi. Elle m aodffert un sari magnifique car tres quotidien, leger et facile a mettre et a porter, et nous a offert cafe et papaye. Jayan et Noe ont fait connaniaance et la magie eds enfants c est bien leur universalite qui les rendents si internationaux.

Jayan s est reveille a 18h d une siste de fin d apres ;idui car, en Inde, l ecole est organisee bien differemment de la France:journee de cole de 9h a 13h, tous les jours et activites tout l apres midi. La fille de B est institutrice, elle ma demande poursauoi Noe ne parlait pas anglais... Je lui ai repondu avec honte que je le trouvai trop petit et elle ma dit qu elle avait commence a parle a Jayan en anglai des un abn et queaujourd hui, a 4 ans, il parle 3 langues : Hindi, anglais et Kanada.

C est vrai que j avais envie de lui epprendre l anglais a Noe. Donc, c est en cours, c est valide et monsiuer dit deja CAR et bientot HELLO. B m a dit de lui parler dan les 2 langues puisque je parle els 2 langues. Ce conseil de papi Bhaskar est bien integre, et Yoann est d accord. C est parti... J attendrai donc un peu avant de deballer la methode d apprentissage de l Hindi que j ai achete afin de commencer a l apprendre pour la transmettre a Noe plus tard.

Cette rencontre avec la fille de Bhaskar fut tres agreable et conviviale mais c etait ce lundi 28 janvier et en fin de journee la fatigue etait vraiment presente sur tous les visages.

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Cetet journee au Taj Mahl fut super:un vehicule tres confortqble et tres grand pour aue tout le monde trouve son aise, un B tres genereux avec nous veillant que tout le monde soit bien installe, bien guide, heureux. Un chauffeur agreable aui est tombe sous le charmede Noe... Comme tous le sindiens d ailleurs.

Parlons en du charme de Noe : les jeunes filles indiennes se pressent pour lui faire des sourires et jouer avec lui, les femems lui touchent les cheveux et le front et les homems indiens, si peu souriants et expressifs, sourient en le voyant passer. Noe serait il notre passeport pour un monde meilleur? Ce qui est certain, c est qu avec son pere, ils sont les vedettes. Et, assis dans son siege porteur sur le dos de son pere, Noe le roi fait l admiration des indiens que nous admirons a notre tour tant ils sont travailleurs et fonceurs.

Voila. Taj Mahal magique. Symbole des portes du paradis, de la grandeur de l amour et de la lutte contre le diable et le mal pour un repos eternel... Tout est dit, nos pensees sont tournees vers notre famille qui accompagne notre tres Cher vers son paradis a lui...

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Nous sommes rentres a Delhi a 1h du matin. Douche et PREMIERE VRAIE NUIT COMPLETE POUR TOUT LE MONDE:sommes en pleine possession de nos moyens. Journee d aujourd hui en famille en balade a pieds a Delhi, sommes relax, tranquilles, papi Baskar ne gocie pour nous, organise tout et nous fait vivre une decouvrte de l Inde plus facile et pratique. Plus chere un peu aussi mais peu importe, somems entre de tres bonnes mains.

Ce soir nous partons en train pour le Gange, pour Varanasi. C est incroyable mais vrai : avons reussi en ces tems de grand festival a degoter des places dans une tres bonne classe pour passer la nuit en fa;ille et bien installes. Arrivee prevue a 11 demain matin. Une tres bonne nouvelle nous attend aussi:Ramesh viendra nous chercher a la gare car il a su que nous arrivions par le Golden Lodge dans lequel nous avons nos habitudes desormais et qui a trouve, bien entendum eds chambres pour nous en derniere minute alrs aue pendant ce festival, ils affichent complet. Je sens de que je vais regretter de ne passer que 1 jounee et demi avec mes amis de Varanasi...

BON PROGRAMME... 1 euro = 71.50 roupies en info de derniere minute.

Namaste.

Anju.

 

30 janvier 2013

L INDE : EN NOTRE AME ET CONSCIENCE

Et ...so what? C est donc par cette formidable citation de MONSIEUR F.Dubosc que je commencerais ce premier texte de mon epopee indienne. Toujours sans possibilite de placer des accents et eds apostrophes, mais ca, vous le savez deja.

C est donc en notre ame et conscience que nous nous retrouvons en famille en Inde. Noe, Yoann et moi, papa et maman. Tandis que tata et tonton sont finalement, dans un dechirement sans nom, restes pres des leurs et eds notres en France pour accompagner un tres tres Cher vers un grand voyage... C est donc l ame et la conscience un peu en perdition que nous avons decide de faire notre voyage en famille en INDE, notre coeur est aussi reste un peu dans les valises de ceux qui sont restes...

PARTIR, RESTER, VIVRE ET MOURIR:cela aurait pu etre sans doute le titre de ce premier message. Notre paradoxe familial et le grand paradoxe de l Inde.

Nous avons debarque en Inde en groupuscule arme d emotions, intergenerationnel, de 18mois a 66ans. Ce lundi 28 janvier 2013, il est exacement 7h25 lorsque nous atterissons a Delhi. Un voyage impeccable, sans ombre, hormis celle de ceux qui sont restes sur le quai pour accompagner un deprt en voyage vers l inconnu de l un des notres... C est donc tres tres fiere de mon fils que je vous informe qu il n a pa pleure, a dormi durant tout le vol et a accepte tout ce que notre vie de baroudeurs lui impose parfois:manque de sommeil, decalage horaire, repas aleatoires, patience et bienveillance... Oui, c est certain, nous avons fabrique un baroudeur...

Apres des demeles non etonnantes a la douane de delhi, nous retrouvons nos valises restees en attente pres du tapis roulant... Tandis que la nuit fut courte et intense, nous retrouvons Delhi frais mais pa froid et un Bhaskar au bonnet noit, souriant et tres beau.

Evidemment, je fais ma boulette indienne en tentant une bise franche qu il ne comprend pas... Tout commence alors par un baiser dans le cou, sous le regard indiscutable des indiens en quete de touristes perdus. J ai cette impression d avoir mes familels reunies. Papa Baskhar et les parents Brochoire.

Bhaskar negocie taxis pour nous rendre a Delhi, rejoidre notre hotel deja reserve...Ce premie voyage nous separera : papa en maman sels dans un taxi et Bhaskar, moi, Yoann et Noe dans le suivant. L installation se fera rapidement et cest encore dsn un flou totalement artistico indien que je comprendrai que notr echambre qui ne doit pas etre notre chambre sera finalement notre chambre... B me raconte le cours de sa vie depuis 2 ans, nous echangeons et j apprends avec emotion que sa vie fut difficile. En le quittqnt en 2010, je l epressentait. Cela fait 6 ans que nous nous somems rencontres et je sais que son edstin d indien est parfois difficle a porter meme si sa joie demeure...

Il ne boit plus une goutte d alcool:je suis fiere de lui.Il nous a donc conconte un parcours riche de sens et riche tout court.A peine arrives, nous montons dans un vehicule pour visuiter Delhi. Super idee car jamais ne me serait venue a l esprit de visiter la maison de l ancien premier ministre et autres hauts lieux de cette capitale indienne. Nous rentrrons a l hotel a 19h. Missions accomplis:B a compris que nous sommes capables de manger avec les indiens, pour 7 euros en tout pour 10 personnes... Il est heureux, Nous aussi, Noe est un type formidable...

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Premiere nuit compliquee:Chambre donnant sur rue en plein centre du qurtier populaire Main Bazaar, qui signifie le quartier eds gens malades...Qui porte si bien son nom... Bref, du bruit, du bruit, du bruit, chiens hurlants, sirenes hurlantes, gens gueulant, crachats, toux, klaxons, combats de bestiaux en tout genres...Et, et...Noe qui n a pas envie du tout de revoir ses habitudes a lheure indienne. Il est 1h30 du matin quqnd tout le ;onde s endort, le rendez vous est prevu dans 4h30 pour nous rendre a Agra, au Taj Mahal...

Evidemment, c est papa qui debaerque dqna notre chambre a 6h, sac au dos et frais comme un gardon. Comme ils disent: on a bien dormi...

Veinards. Nous, non non on a encore pas dormi cette nuit, 3 nuits de suite sans sommeil, c est beaucoup... Mais papi et mamie prendrons le relais avec Noe aujourd hui et ... C est tellement genial d etre en famille.

Conseil pour une premiere journee en Inde : ne rien programmer : DORMIR ET C EST TOUT.

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2 janvier 2013

ON Y RETOURNE!!! WELCOME INDIIIIIIIIIA.

Emission "Les Maternelles" du mardi 18 décembre 2012 : "raconte-moi mon Histoire!" avec le soutien et le formidable élan providentiel offert par Monsieur Philippe Grimbert, l'invité de l'émission... Un grand merci encore et encore à Cédric, le journaliste qui accompagné toute mon Histoire dans cette émission...

Emission les MaternellesJe me retrouve de nouveau sur ce blog! Evidemment, l'adresse est restée la même mais je vous propose d'essayer ceci : angelinevoyage.canalblog.com afin de passer par un souffle d'air frais avant de revenir ici.

En fait, le blog de mes voyages est le même; il continue. Je vais même vous parler un jour de la Guyane française, de la Turquie que nous avons parcourus entre temps. Je salue u passage tous nos amis de voage que nous n'avons pas oublié et qui attendent avec impatience le récit de notre fersque vivante turque de l'été passé!!!

Je souhaiterais simplement que l'on respire un bon coup tous ensemble avant de poursuivre l'aventure humaine. Je me réapproprie ce jour mes retours à mes sources. Je me les répproprie pour les vivre et les partager avec qui de droit. Suite à une erreur de parcours dû à l'Humanité dépressive qui se noit dans ses problèmes en faisant parfois semblant d'aider, à grand renfort de culpabilité, les autres, les communications sont parfois difficiles. Mais, il se trouve que moi je vais bien, très bien même. Je suis heureuse, si vous saviez... Si heureuse, libre et épanouie que certaines mauvaises âmes qui se dépprécient ne le supportent pas. Tant pis pour elles, qu'elles restent à la traine avec leurs flots de problèmes et leurs larmes qui les remplissent d'acide et d'amertume!!! Au diable les paresseux de la vie et les jaloux, j'écrase d'un coup de pied au cul les mégots des poumons noircis par leur fumée de dégoût des autres et de faux semblants sympathiques! Si vous saviez comme les gens peuvent être idiots lorsqu'ils stagnent... Mais vous le savez sans doute déjà... Pourtant, stagner de temps en temps fait du bien, pour peu que l'on aime sa vie telle qu'elle est sans envier ceux qui avancent à leur tour.

Quant à moi, chers vous-autres : je vais bien.

Bien, Bel et bien. Après une exaltation magique et régénérante sur le plateau de l'émission "Les Maternelles", de France 5, le mardi 18 décembre dernier, je vois mon monde se colorier, virevolter et respirer à pleins poumons, sans faux semblants ni subterfuges de bêtises de camouflage.

En fait, je revis.

Et c'est encore plus légère et plus vive qu'avant, dans toute ma mesure extravagante de Maman que nous repartons, tous ensemble, à 7, vers l'Inde : moi, Yoann, Noé (le vif saphir flamboyant qui nous réjouit et nous fait bondir le coeur depuis plus de 18 mois), ma maman, mon papa, ma tata et mon tonton.

Départ le 27 janvier 2013 pour Delhi. Promis, on continue à tout vous raconter et à oublier de préciser certains détails, certaines pensées, quelques histoires gardées au secret et nos fins de voyages durant lesquelles on se permettra juste de ...Profiter !

Programme du périple, préparé en connivence avec notre Baskhar de Bangalore : Delhi, Varanasi, Bangalore, Mysore, Cochi et Agra ! Et commande express de logements complets afin d'assurer la tranquillité digestive de tous les voyageurs (bilan du dernier voyage pour Yoann : - 5kilos au compteur et l'enfer intestinal)

PS A tous ceux qui préparent un prochain voyage vers l'Inde : je vous conseille vivement de passer par acion-visas.com afin d'obtenir sereinement votre visa. Nous avons testé pour vous le nouveau formulaire en ligne du Gouvernement indien et... C'est pas simple tout ça! Tout est en anglais, tout est détaillé, juste à la date de naissance des grands-parents et attention à tous les détails qui peuvent retarder votre obtention de visas (profession, religion, nationalités d'origine... Bref, un grand merci à action-visas.com qui nous a simplifié la tâche car, avec nos 7 visas, une soirée entière n'a pas suffit et les documents supplémentaires, complémentaires et attestations diverses ont été nécessaires (autorisation parentale de sortie de territoire, formulaire complémentaire pour les ressortissants indiens...). Mais tout fut livré rapidement, les soucis réglés dans les meilleurs délais et les correspondants d'action-visas aux commandes pour nous tenir informés tout au long de la procédure!!!

voeux FDLA 2013

23 janvier 2011

BONS BAISERS DE BOMBAY !

Mumbai. La 5 eme plus grandes villes du monde, une fourmilliere. Dons nous apercevons déjà l organisation magalopolesque vue du ciel. Une arrivee etonnante dans cette jungle urbaine et ce nuage de pollution ambiante. Heureusement, notre super Mathilde avait tout prevu pour que l on ne sue pas trop en attendant qu elle sorte de son travail… Plan, adresse du rendez vous, roupies a payer… Elle assurait déjà notre confort avant même que l on soit arrives.

Chaleur etouffante. Il est 15h50 quand nous atterrissons. Il fait encore plus chaud qu a Goa, pas loin des 35 degres. C est quand même l hiver ici, faut pas deconner... D ailleurs les indiens sont en chemise avec caches oreilles et couvertures le soir... Faut pas deconner...

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Evidemment nous savions grace a elle que de l aeroport domestic a son quartier, un rickshaw nous couterait environ 100 roupies. Donc quand le premier chauffeut nous propose le fameux forfait prix d ami a 250 roupies nous nous eloignons sans crainte… Bingo, nous parvenons enfin a nous faire prendre en charge par un rickshaw dote d un meter, un compteur… Plus tard nous constaterons que tous les taxis et ricks en possedent dans cette ville et qu il faut le demander pour payer le juste prix et par leusr forfaits debiles, gros pieges a touristes… Sont malins ces indiens mais j avouerais que ca va vite aussi dans ma tete, et jouer avec eux est un bonheur… Et ca ca va me manquer, la fin du voyage approchant.

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En rickshaw dans Mumbai. La ville est propre, organisée, la circulation est dense et les rues sont immenses permettant 5 files des véhicules en tous genres parfois. Mais les rues sont cabosses, trouees, pas finies et ils faut que tienne mon bidon car ca brasse. Sans compter que l air ambiant me pique la gorge, et me fait tousser, ca prend les poumons au final… Vaut p tet mieux fumer une bonne clope a la campagne que de respirer cet air pendant 30 minutes… Il faut que lance cette proposition d etude scientifique !Ah si le detail qui montre encore que les codes indiens sont multiples et que chaque ville est presque un pays different a lui tout seul : le compteur du rickshaw indique 590. Nous avons peur de devoir payer 590 roupies contre 100 selon les infos de Mathilde. Du coup nous nous énervons assez rapidement car debarquons tout droit des codes de Goa… En fait, le pauvre Wallah nous demande 73 roupies, la honte pour nous, 590 correspondant a la distance parcourue. Les chauffeurs ne parlant pas un mot d anglais ici, ou tres difficilement par rapport aux autres villes parcourues, inutiles de nous perdre en confusion. Il aura droit a 80 roupies et nous nous sommes ravis.

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Et nous voici arrives au INFINITI MALL, lieu de rendez vous soigneusement indique par Mathilde pour sa proximite de chez elle et de son travail et notre confort alors que nous descendons juste de l avion… Ce centre commercial hors de l Inde reflete ce que nous decouvrirons de Mumbai… La modernite, l extravagance, la jeunesse et l americanisation. Tout ce entre commercial est dedie a l’ Amerique : fast food, enseignes de prestige et publicites lumineuses ventant les series téléviséee NCIS, Latermann Show, Les naufragers… Truc de dingue au cœur de la megalopole indienne juste davant la quelle des enfants de 6 mois a 6 ans mendient, pieds nus, sales, affamés. Craintes terroristes obliges, nous sommes fouilles a l entree du centre commercial, nos sacs seront passes au rayons X.

Voila Mumbai. Et voila Mathilde. Ne la connaissant pas par avance, c est en apercevant immediatement une jeune femme europeenne, tres a l aise parmis cette foule d indiens consommateurs qui sort son telephone portable que je sais que c est elle. Et puis c est en voyant Yoann qu ils se reconnaissent tous les 2, sans se connaitre auparavant. Entre europeens, on se reconnait, je vient de reprendre conscience que j ai quand même davantage l allure d une femme indienne que d une europenne, meme parmis toutes ces clientes branches et modernes de ce centre commercial.

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Mathilde ressemble a son papa, c est elle, ca ne trompe pas. Au fil des minutes de notre rencontre, en fait elle ressemble à sa maman aussi. Pas de doute possible, c est bien la Mathilde de Mumbai que nous attendons. Elle maitrise parfaitement l anglais avec la faculte de s adapter aussi au drole d accent des indiens et a leur langage specifique ici aussi, à Mumbay. Bref, nous sommes en toute confiance… Et heureux de nous etre retrouves !Rick shaw, 10mn plus tard nous sommes arrives chez elle. Nous découvrons des tours immenses, un quartier anime, tres populaire, des routes tres frequentees et des residences mignonnes et calmes, surveilles par un gardien, en toute securite. Mathilde a choisi ce quartier pour sa proximite avec son lieu de travail et son calme. Elle y est bien. Et se sent bien. Nous connaissions déjà le sens de la protection des indiens, nous ne sommes dons pas etonnes de voir que la gardien nous a déjà bien enregistres dans sa mémoire et sommes contents de savoir que Mathilde est bien entouree dans ce quartier ou tout le monde la connait… Un beau salon, une belle cuisine, une belle chambre, une salle de douche et des toilettes separees… Elle vit ici dans un confort indien en plein cœur d un quartier colore, pres de ses collegues françaises qui ont choisi cette vie la aussi.

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Soiree papotages et rencontres… Nous irons nous coucher vers 11 heures. En super chouette nana, Mathilde nous laissera son appartement pour la nuit et pour notre sejour ici. Elle ira chez une de ses copines qui est parti en vacances. Nous nous sentons en fait encore entoures de cette generosite indienne que nos avons rencontree partout depuis le debut de notre aventure. Donc cette vendeenne là a Mumbay a tout pour rester 3 annees au cœur de ce pays qu elle va rencontrer tres vite ! Déjà tres riche de beaucoup d informations car curieuse des mœurs, du langage, des religions et au cœur d un quartier indien… Au dodo… Demain Mathilde va travailler et nous devons aller visiter Elephanta… Une ile au large de Mumbai, 2 heures de route pour rejoindre le Sud de la ville et 1 heure de traversee nous attendent.

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Nous nous leverons ce vendredi 21 janvier plus tard que prevu. Gateway of India nous attend, juste en face du lieu des attentats derniers. Magnifique lieu. Qui se merite car 1h de rickshaw et 1 heure de taxi plus tard nous y parviendrons, grace aux conseils de Mathilde qui va dans le Sud régulièrement pour respirer comme elle dit et comme elle a raison !

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Nous sommes dimanche, il fait tres chaud a Mumbay, j arrete ici car Yoann et Mathilde s impatientent… Et le soleil nous attend avant de repartir demain matin, tot, pour Agra… Avant même de partir j’ai déjà la nostalgie du soleil et de la chaleur… Allons vite dehors !

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23 janvier 2011

EN TRANS...PIRATION A GOA!

Farniente, plage, cocotiers, baignades – toujours fortement intimidante pour moi rapport a mes jambes nues sous mon immense tee shirt qui suscitent des regards de toutes parts…

Superbes moments de detente et de vraies vacances sans but ni arrieres pensees ; agreables et charmantes mais ultra cheres.  Nous sommes a Candolim, dans le Nord de la region de Goa, difficle de comprendre que nous ne nous sentons pas du tout en Inde, loin des traditions, du charme, du repect et des couleurs… Autour de nous, europeens ultra branches, russes surexcites, femmes denudees… Et indiens sages en voyage organise ou en voyage de noce… Sans compter des abus d alcool, de cigarette et de vetements ultra oses qui sont monnaie courante.

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Nous avons envie de bouger, une seule journee de glandouille au soleil me suffit, plein d energie pour decouvrir la region nous allons taper a la porte de notre hotel AVE MARIA que nous ne frequentons pas beaucoup car nous sommes loges dans des chambres a l exterieur du charme de l hotel mais en plein centre ville… Chambre negociee par Baskhar a 1000roupies la nuit  contre 1500roupies en tarif habituel. Belle negociation meme si ce petit voyage dans le St Jean de Monts indien nous reviendra tres tres cher…

Bref, envie de decouvrir le sud mais dans de bonnes conditions et totalement pris en charge… Nous avons 2 propositions : un tour a 2300 roupies la journee et un tour a 310 roupies la journee, avec mini croisiere sur la mer d Oman d une heure. .. Evidemment, nous choisisirons la 2eme option et resterons bouche bee devant cet ecart de prix surprenant ; avons rendez vous le lundi 17 janvier, demain, a 9h00 pour attendre un bus FERNANDES.

Nous sommes tellement excites a l idee de decouvrir enfin Goa que nous sommes prets à 8h45 au lieu de rendez vous ; SURPRENANT non ? Pour ceux qui connaissent notre sens de la ponctualite legendaire ce fut tres etonnant d etre en pleine forme. Finalement le bus n arrivera qu a 9h15… Les boules ! Et la surprise fut immense. Pas d europeen dans le bus, seulement des indiens… Je me souviens alors que Saveena, la jeune belle fille de la patronne de l hotel m a demande au moment de la reservation si je parlais Hindi ou Tamil… Et moi qui lui disait que je ne parlais pas ces langues mais comprenait parfois quelques expressions ou conversations simples.

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Bref, nous voici embarques dans un bus plein de touristes indiens seulement, pris en main par un guide expliquant tout sur la route… En Hindi. Nous avons filme ses explications avec l intonation typique du guide et le tout en Hindi avec jeux de mots et autres devinettes bien calculees qui suscitaient des reactions des familles presentes et leur enthousisame. Et nous, au milieu de ce monde, ne comprenant rien… Juste extraordinaire moment. Mais qui dit voyage organise dit timing hyper precis et visites express de beaucoup de choses : plages, musees, eglises, cathedrales, temples, forets tropicales… Le guide tentait tout de meme de nous expliquer dans son anglais sommaire et avec l intonation guide les horaire sde rendez vous mais nous sommes arrives dans le bus 2 fois tres en retard sous les sourires des indiens que ca fesait bien marrer…

Du coup, nous avons gere differemment, surveilles de pres par le guide et les autres familles qui nous prenaient en reference : ils sont pas encore au bus, on  a le temps !!! Bref, sous une chaleur ecrasante nous avons passe une superbe journee, entouree de Linde que l on aime tant et des valeurs familiales indiennes que l on ne connaissait pas vraiment encore. Ce fut incroyable d etre entoures d un couple de jeunes maries et de leur famille, de parents combles de pouvoir passer du temps avec leurs enfants et de voir que ces familles tres tres proches, detendues, prenaient plaisir a se donner des signes d affection… Ce n est qu 20h30 apres une journee fatiguante mais geniale que nous sommes rentres dans notre chambre, meme pas perdus dans les rues sombres qu a emprunte le bus au fil des arrets pour chacun des passagers!!! La clase… Avons peu mange mais bien mange : glaces, fruits frais, et sandwichs confectionnes la veille par nos soins… Alors que les indiens et leur nouveau sens de la consommation de loisirs ont dejeuné dans le restaurant impose par le chaffeur du bus et son équipe… Gros dodo bien merite.

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Un mot de la croisiere : une heure de traversee tres surprenante sur la mer D Oman… Entre bateau de croisiere plein a craquer d indiens uniquement, 3 bateaux qui parent en même temps et une scene ouverte pour que le DJ et l animateur hurlant puissent s exprimer a fond… L alcool coulant a flots au bar loin du delire decouverte de la venise verte romantique que nous avons pu imaginer jusque la… Un truc de fou. Surexcites par toute cette musique, les indiens ont danse, chante, crie et offert des tournees a leurs nouveaux copains tout en tapant dans leurs mains et admirant les 2 danses offrets par l equipage. Tout cela en une heure…

C est vous dire si la nuit fut bonne une fois rentres a la maison…

Les jours suivants a Goa furent aussi doux : baignades, location de lit de plage, soleils couchants, rencontre avec un elephant, massages dans un super salon tenu par un jeune indien specialiste de l Ayurvedisme et qui travaille avec bonheur sans chercher a tirer profit, a faire de la publicite (en face de l AVE MARIA HOTEL) , manucures, pedicures et soin du visage pour des prix defiants toutes concurrences et un bonheur de 90 minutes pour toute la famille si vous voyez ce que je veux dire… Ce mardi soir restera grave dans notre mémoire… Nous avons profite de notre passage a Candolim, Goa, pour en profiter !!! TOTALEMENT DECOMPEXES au bout de 2 jours… Avons rencontre Raju, garçon de plage de 30 ans et sa femme, vendeuse a la sauvette de tout et n impoirte quoi sur la meme plage, Gheeta, 29 ans. Parents de 4 filles déjà, Gheeta est enceinte de 3 mois… Evidemment nous echangeons avec plaisir… Mais comprenenons l envers du decor de Goa : ceux qui quittent familles et amis pour profiter du tavail a gogo de Goa… Raju travaille de 6h à 6h, tous les jours, pendant 7 mois, pour 1 500 roupies par mois, les services qu il rend aux touristes lui rapporte un petit quelque chose en plus. Gheeta, doit donner 5000 roupies par mois a la mafia qui contrôle le business des vendeurs de plage et doit cacher son magasin ambulant des que la police debarque. Bref, Goa est un paradis mais qui a un prix, pour nous et pour ceux qui veulent en vivre… Envoyer 2 colis en France pour alleger la suite de notre voyage nous reviendra a 4 400 ROUPIES, il faut absolument que j ecrive au Guide du Routard pour leur demander de completer la rubrique liee a ce sujet :  c est une vraie jungle la poste indienne… Heureusement que nous retrouvons à Calangute, des français habitues depuis 20 ans a transiter et a faire transiter… Dedicace au monsieur du Sud de la France avec bandeau vert jaune et rouge et jolie feuille de cannabis en déco pour donner le chic au tout…

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C est avec un peu de nostalgie que nous quittons Goa le 20 janvier, le cœur rempli d emotions partagees, de rencontres, la tete reposee, les idees nouvelles et la portefeuille allegee de beaucoup, beaucoup d argent car le vie de glandouille occidentale sous les tropiques indiennes coute tres cher. Nous promettons à Saveena, la jeune fille de l hotel et son mari de revenir à Candolim avec toute la famille… Dans son hotel, bien sur… Parce que les goannais qui ont la chance de posseder veulent en posseder toujours plus… Ils auraient tort de se priver, vu que les paysages sont déjà envahis pas les constructions… Ce ne sera que plus tard que nous apprrendrons qu au sud de Goa, hors region, se trouve encore un paradis vierge de toutes affluences touristiques… Ca sera pour la prochaine fois !

Direction Bombay ou Mathilde nous attend… Un grand bonheur en perspective pour Yoann de pouvoir parler français… Et pour moi de retrouver un peu la Vendee …

16 janvier 2011

GOA... CHALEUR... OH LA VACHE ...

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Et nous voila en plein St Tropez Indiens ou les prix flambent mais ou je m amuse enfin a jouer avec les vendeurs de tout et n importe quoi qui, ici, ne peurent pqs de faim...

En parlant de faim, la c est l heure car demain nous embarquons pour une journee entiere de balade a Old Goa, et autres sites incontournable sde la region... Touristes or not touristes... Le plus important c est que cette etape est aussi indienne et nou soffre une facette etonnante de la controverse magique de lInde en plein developpement... Et moi, malgre l efait que beaucoup de personne sen France ne me comsiderent pqs comme indienne, je ne peux pas me baigner ici, a 30 degres, car les indiens et leurs regards sont tres violents a mon egard. C est injuste car tous les europeens et russes se tremoussent en strig a paillettes sans aucune gene... Je m en fiche je vais enfiler mon plus beau et grand tee shirt xx l et go a la mer...Yoann lui est aux anges car enfin il peut emfin manger a sa faim... Il y atout ce qu il faut pour les europeens, sauf le stee shirts en dessou sde la taille XL car les indiens d ici disent que tous les europeens sont gros et gras. Ceux d ici, franchement, oui. Mai c est rigolo...

Allez zou... A table et apres ca sera grande surface incroyable pour acheter notre pique nique pour la jounee de balade de demain...

16 janvier 2011

OU LALA... ORPHELINAT SAINT MICHAELS

vendredi 9 janvier...

Nous avons pris rendez vous avec Sister Rose, Mere superieure du couvent et de l orphelinat St Michaels...

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La route nous est connue desormais c est donc sans mal que nous retrouvons le gardien toujours super sontent de me revoir et qui se souvient de moi depuis 2 ans... Et que nous patientons dans l entree en attendant Sister Rose.

Me souvenant que Sister Reji de la derniere fois est tres tres jeune, je n ai pas reagi au telephone lorsque Sister Rose m a dit : Angelina ? En quelle annee etais tu  al orphelinat ? Peut etre que j etais deja la...

Bref, voici Sister Rose qui arrive, croyant que je la voyait pour la premiere fois... Elle me regarde, m embrasse immediatement et me dit que je n ai pas change, qu elle se souvient de moi car je l ai beacoup marquee et que j etais si proche d elle que ca l arendu triste quand je suis partie...En effet, c est la 4 eme mission que Sister Rose fait dans l orphelinat et de 1981 a 1987 elle etait la. Et plus ca va, plus son visage me rappelle quelque chose. C est une femme agee qui se souvient de tout et je n omet pas de la remercier tres sincerement pour tout car c est aussi grace a elle que je suis une femme si epanouie et si brillante, comme elle dit de moi.

Bref, nous avons passe du temps a discuter, a echanger, a papoter, elle m a raconte tout ce qu elle se reppalait de moi en precisant que j etais extremement timide et n avait d affection que pour 2 ou 3 adultes. Emme me dit que j ai bien change et me dit qu elle est fiere de moi...

Le the plus tard, elle me propose de rencontrer Sister Cecilia, la mere superieure de l epoque ou j etais la, qui est encore en vie et qui avait en charge tous les papiers administratifs a l epoque.... Je regrette simplement de ne pas avoir emmene avec nous les papiers et quelques photos du dossier de mon adoption. C est balaud... La voiture de l orphelinat et son chauffeur hyper gentil est a notre disposition, Sister Rose nous embarque a la rencontre de mon passe... Un moment difficile a decrire durant lequel des tonnes d informations me sont arrivees...

Me poser des questions pour de plus amples renseignements. Ce qui est sur c est que le moment fut intense et beau et que la taille de la carte memoire de notre camera n a pas suffit. Photos souvenirs precieuses, joie immense pour tout le monde et retour a l orphelinat.

Repas partage avec elle, sieste obligatoire car Sister Rose tient a ce que je me repose. Et visite de l orphelinat avec seulement ses 12 enfants presents. C est genial de constater que tous ceux rencontres il y a 2 ans sont adoptes et que 10 enfanrs ont moins de 1 ans, la plus grande a 4 ans. C est bien de voir que les choses avancent... Sans compter que beaucoiup de familles indiennes adpotent desormais des enfants et que cet orphelinat la ne manque de rien, a part de jouets et de jeux... Ca tombe bien, notre hotte est pleine... Nous nous delivrons des tas de presents que nous avions embarques avec nous. Meme si depuis le debut du voyage, nous avons deja joue les peres noel au gre de nos rencontres...

Et puis de l argent pour le lait en poudre. Voila. Amu, la plus grande des enfants presents actuellement, fut la plus joyeuse des petites filles du monde au moment de decouvrir tous ces jouets la, que elle laissera a l orphelinat... A part une petite poupee en porcelaine que nous lui donnerons rien qu a elle...

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Merci encore a tout ceux qui ont donne des cadeaux, de l argent et de leur temps... Je peux vous assurer que ce fut pour le plus grand bonheur des enfants presents et que l orphelinat se chargera de faire le bonheur des enfants suivants...

Nous repartirons de Bangalore emus, veritablement, apres une soiree magnifique a divaguer en scooter dans les rues de la grande ville en compagnie de Baskhar et Shruthi, qui auront ete notre famille jusqu au bout et meme plus que cela. Nous avons partage tout et j espere au il spourront venir en France, se faire pieger par nos plats non epices...

C est a midi aue nou sdecollerons le samedi 10 janvier pour Goa. Un peu perdus a l arrivee puisque je n avais aucun contact mai svite rassures car Baskhar avait encore pris soin de m envoyer un SMS quiu contenait les coordonnes d un hotel dans lequel il avait reserve une chambre, a un prix defiant toutes concurrences, pour sa fille et son gendre, desquels il fallait prendre bien soin. La receptionniste m a precise tout cela en arrivant. Je ne sais comment remercier Baskhar pour tout. Peut etre ce qui lui ferait le plus plaisir c est que nous nous reposions vraiment.

C est ce que nous allons faire...

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Les voyages d'Angéline
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